La communauté d’établissements au diapason de la loi EGALIM

La loi EGALIM en restauration collective

 

Interdiction du plastique, repas dit “végétarien”, produits bio, lutte contre le gaspillage alimentaire… La loi Egalim comporte de nombreuses mesures pour la restauration collective. Certaines sont d’ores et déjà en vigueur, d’autres entreront en application dans les mois à venir. Retrouvez le champ d’application et les spécificités de ces différentes mesures :

Télécharger (PDF, 483KB)

 

Les services de restauration scolaire et universitaire, les services de restauration des établissements d’accueil des enfants de moins de six ans, des établissements de santé, des établissements sociaux et médico-sociaux et des établissements pénitentiaires dont elles ont la charge doivent proposer, au 1er janvier 2022, au moins 50% de produits de qualité et durables, dont au moins 20% de produits biologiques.Il s’agit des produits  :

Substitution des plastiques

Au plus tard le 1er janvier 2020, la mise à disposition des ustensiles à usage unique en matière plastique (sauf ceux compostables en compostage domestique et constitués, pour tout ou partie, de matières biosourcées) suivants est interdite :  gobelets, verres, assiettes, pailles, couverts, piques à steak, couvercles à verre, plateaux-repas, pots à glace, saladiers, boîtes et bâtonnets mélangeurs pour boissons. Les bouteilles d’eau en plastique sont interdites au plus tard le 1er janvier 2020 en restauration scolaire.
Au plus tard le 1er janvier 2025, l’utilisation de contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe ou de service en matière plastique est interdite dans les services de restauration collective d’établissements scolaires et universitaires, ainsi que des établissements d’accueil des enfants de moins de 6 ans.

Cette mesure est valable aussi bien en restauration collective, publique et privée, que commerciale.

Lutte contre le gaspillage alimentaires et dons

Depuis le 21 octobre 2019, l’obligation de mettre en place une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire est étendue aux opérateurs de la restauration collective privée. A compter de cette date, les opérateurs de la restauration collective (publique et privée) préparant plus de 3 000 repas par jour disposent d’un délai d’un an pour proposer une convention de dons à une association habilitée.

Le Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges s’est investi depuis longtemps dans le prendre soin : de l’homme, de l’environnement, de la planète !

Télécharger (PDF, 542KB)

Vous aimerez aussi...